Ce lieu ancien, ravagée, détruit, dévorer par les Cataclysmes, où autres fois régnait des arbres de dizaines mètre de haut, une forêt colorée, une forêt vivante, une forêt omniprésente, qui était dorénavant réduit à un tas de cendre, un tas de pierre fissurée, nauséabonde, qui se chevaucher les uns et les autres, laissant d’immense fissure d’une bonne vingtaine de mètres de profondeur et de 5 mètres de largeur entre chaque tas… A travers ses fissures, émanait une vapeur verdâtre, représentant l’un des Cataclysmes les plus étranges, mais fort heureusement, qui, dorénavant, se reposait, et ne semblait pas pourvoir s’éveiller avant un long moment. Un vague souvenir d’une grotte sembla s’imprégner sur un mur de pierre tombant en décombres… Une vision d’un champs de bataille pour la survie entre les humains durant les Cataclysmes. Cette endroit fut sujet de scène plus horrible les unes que les autres. A travers ce silence calme et en peu plus stressant, des pas résonnèrent, calme et adoucie par une fine et douce mélodie. C’était assez rare de la voir ainsi, d’un visage aussi calme, et paisible, d’un visage semblant joyeux, qui retrouver sa nostalgie d’auparavant. Elle était là, se pavanait à travers des décombres remplit de souvenirs, de ses batailles, de ses victoires, et de ses défaites. Le son accompagnée chaque sentiment, un coup, la joie se ressentait, soudain accompagnée d’une note mélancolique, montrant le désespoir. C’est ainsi que Tsubaki résumait une vie stagnante, et d‘une flottabilité instable, à travers cette nouvelle Terre, une vie, qui ne sembla pas prête de s’arrêter… Soudain, d’une manière brutale la musique se stoppa, les pas aussi… Elle fixa l’endroit fissurée, l’endroit détruit, cette endroit où autrefois… Elle venait jouer. Elle referma ses yeux, replaça sa flute à sa bouche, reprenant sa marche d’un pas calme et nonchalant, la musique de la forêt reprenant vie. Mais elle paraissait avoir changer… Le son était trembloter, comme des sanglots difficiles d’étouffer, le son était parfois incorrecte, une note était mal jouer, avant de reprendre son rythme normal. Les doigts de Tsubaki tremblait, son écharpe s’envola, mais elle ne partit pas à la recherche de celle-ci, laissant libre ses excroissances à toute vue. Qui ose donc croire que les Akumas n’ont plus de sentiments ? Les Akumas peuvent en avoir, mais ont préférer les ignorer, pour ne pas souffrir, à quoi donc cela peut servir ? Pour eux, tout sentiments et futiles, et ne sers à rien… Pourtant, certain ne peuvent s’empêcher d’en éprouver… Et cela n’était pas très « bon » pour leur réputations. Une espèce crainte par les autres, qui montrerait ses poing faibles ? La musique fis un son assez choc, et reprend du tonus, de l’énergie. Tsubaki n’allait pas se faire abattre par de vulgaires sentiments. Elle se tourna vers l’endroit où la Cascade coulait, mais celui-ci, était totalement dessécher… A quoi bon !
La musique s’arrêta, Tsubaki caressa du doigts la paroi de l’ancienne Cascade, comme peut retrouver la douce sensation que procure l’eau froide qui vous tomber avec panache sur votre corps. Elle arrivée facilement à revoir cette immense Cascade dans ses souvenirs… Et se souvenait très bien, que derrière celle-ci, se trouvait un objet brillant immense… Maintenant qu’elle y repense… Cette objet était peut-être bien un de ceux qui les avaient détruits… « Une Ressource ». Elle fronça ses yeux… Il n’y avait absolument rien, à par un murs de pierre, alors comment aurait-il put y avoir ici, une Ressource ? Elle toucha la paroi, rien n’y fait, ce n’était qu’un simple mur. Elle tourna sa tête vers le ciel, toujours aussi grisâtre, et légèrement rougeâtre à certain endroits. Elle ferma ses yeux et poussa un soupir mélancolique. Elle n’avait plus d’espoir depuis longtemps, l’espoir d’enfin un jour, comprendre ce qui lui était arriver, ce qui c’était passer. Peut-être, ces Catastrophes étaient-elles prévu par le destin, pour anéantir la race humaine et en créer une toute nouvelle espèce. Ou peut-être… Que quelque chose à provoquer tous leur problème… Sont-ils réellement les seuls survivants ? N’y a-t-il réellement que les Bâtards, les Hogos et les Akumas qui ont survécut à tous cela ? N’a-t-il donc rien d’autre ? A quoi cela de se poser des questions, questions qui resteront à jamais sans réponses…
Le silence se dissipa, lorsque qu’un caillou sembla roulait sur le sol, provoquant un léger bruit de roulement et de frottement, sur le sol dégradée par le temps. Tsubaki bascula légèrement sa tête en arrière, jetant juste un léger regard vers l’inconnu. Qui était venu la dérangeait ? Qui pouvait voir qu’elle était là, elle, une Akuma, entrain de réfléchir, et non pas entrain de s’attaquer à des Bâtards, comme le ferait habituellement les autres… ? Elle n’aimait pas être prise sur une de ses faiblesses, et elle fronça les sourcils.
« Qui va là… Qui ose venir me perturber ? » Dit-elle d’un air froid et sadique.
Elle pivota sur elle-même, pour se trouver nez à nez avec celui qui l’avait dérangeait, elle ne semblait pas avoir une position de combat ou de défense, mais il ne faut jamais se fier aux apparence, surtout en présence d’une Akuma peu parlante envers tout le monde, même ses coéquipiers, une Akuma mystérieuse, dont personne ne sait encore rien… Une Akuma, cependant, au cœur fragile, et à l’esprit enroulée de questions sans réponses… Une Akuma affaiblie par la fatigue et l’ennuie d’un monde sans rien… Qui était donc là, en face de Tsubaki Kuroyo ?
Mar 18 Aoû - 8:49